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La lettre de TamTamLe ministre Daouda Mamadou Marthe dément les graves accusations d’un journal de...

Le ministre Daouda Mamadou Marthe dément les graves accusations d’un journal de la place

Accusé sans retenue d’avoir détourné à son profit une dizaine de véhicules de l’état lorsqu’il était en poste au ministère de l’enseignement primaire, l’ancien ministre de l’enseignement primaire a réagit de façon vigoureuse à travers un démenti dont copie nous est parvenue.


Pour l’ancien ministre de l’enseignement primaire qui a décidé de laver son honneur devant les juridictions compétentes, les procédures des réformes des biens de l’état relèvent de la compétence exclusive du ministère des finances. Un ministre en fonction ne peut pas s’attribuer ces biens de façon illicite. Il y a des règles à respecter ( voir l’arrêté du ministre des finances).

.Dans son démenti, l’ancien ministre Daouda Mamadou Marthé fait référence aux textes régissant la procédure de la réforme des biens de l’Etat. Il s’agit de l’arrêté N°0308/MF/SG/DGPE du 13 juin 2018 et la lettre n°0001500 MF/DGPE/DPAN/GA du 29 septembre 2020.
L’article 3 de l’arrêté ci-dessus indiqué dispose :

« Chaque fois qu’il est présumé que les matières appartenant à l’Etat et à ses démembres ne sont plus susceptibles d’emploi et de réemploi, ou que leur degré d’altération ou d’usure se justifie, le détenteur de ces matières dresse la liste de ces biens et le transmet au comptable des matières de son ressort pour centralisation.

Cette liste est soumise à la commission ad ’hoc de réforme pour examen. Le procès-verbal de la réforme approuvé par l’ordonnateur intéressé est transmis au Ministère chargé des Finances ». La lettre du 29 septembre 2020, quant à elle, détaille la procédure à suivre pour toute opération de réforme de véhicules et matériels roulants :

1) « Les services compétents des institutions de la République, des Ministères, des Etablissements Publics et des démembrements de l’Etat expriment leurs besoins à travers l’établissement d’une liste des véhicules et matériels roulant à réformer ;

2) « Cette liste approuvée par l’ordonnateur de l’institution, de l’Administration ou de l’Etablissement est transmise au Ministère des Finances conformément aux articles 3,4, 5 et 6 de l’arrêté précité » (arrêté n°0308/MF/SG/DGPE du 13 juin 2018) ;

3) « Les services du Ministère des Finances procèdent à une évaluation de l’état des véhicules et matériels proposés à la réforme et dressent une liste indiquant les prix de réserve pour chaque matériel retenu.

Si la nécessité de la réforme n’est pas avérée, le Ministre des Finances se réserve le droit de procéder à une nouvelle affectation dudit véhicule » ;

4) « Le Ministre des Finances entérine la liste des véhicules et moyens roulants par la prise d’un arrêté consacrant la réforme. L’opération de réforme est conduite par les services compétents du Ministère des Finances suivant les termes de l’arrêté signé ». La lettre (signé par le Ministre des Finances Mamadou Diop) conclut en ces termes :

« Je voudrais vous faire noter que toute opération de vente de véhicules ou moyens roulants de l’Etat ne peut être consentie que pour ceux figurant sur un arrêté dûment signé par le Ministre en charge des Finances ».


Comme on peut le constater aisément, il ne ressort pas dans la procédure de réforme des véhicules ou matériels roulants de l’Etat qu’un autre ministère, en dehors de celui des Finances, s’en charge.


En s’attaquant de manière sournoise au ministre malam Marthe à travers un écrit mensonger et diffamatoire, le journal en question ne cherche qu’à nuire et à discréditer un homme qui a servi l’état de la meilleure façon qu’il pouvait.


D’ailleurs le bus dont on accuse le ministre Marthe d’avoir spolié se trouve actuellement garé au ministère de l’éducation nationale et quant aux restes des autres véhicules, ils ont été réformés par qui de droit.


Ce qui est déplorable dans cette affaire, c’est cette haine contre les anciens dignitaires accusés ces derniers temps par une certaine presse de tous les péchés d’Israël.


Simplement par ce qu’on a un journal, on se met de côté et on crée un fait fictif, on le balance pour faire le buzz oubliant les principes élémentaires de l’éthique et de la déontologie journalistique. L’essentiel pour ces flingueurs de temps modernes est de nuire et discréditer une personnalité.


Cette pratique de journalisme d’égouts qui ne s’embarrasse d’aucune scrupule doit être combattue par l’ensemble de la profession.


Aujourd’hui c’est Marthe et l’ancien président issoufou Mahamadou qui sont traînés dans la boue, demain ça sera le tour d’autres honnêtes citoyens qui verront leur dignité piétinée par des scalpeurs sans état d’âme.
La force publique doit veiller à y mettre fin et cela au plus vite.

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Accusé sans retenue d’avoir détourné à son profit une dizaine de véhicules de l’état lorsqu’il était en poste au ministère de l’enseignement primaire, l’ancien ministre de l’enseignement primaire a réagit de façon vigoureuse à travers un démenti dont copie nous est parvenue.


Pour l’ancien ministre de l’enseignement primaire qui a décidé de laver son honneur devant les juridictions compétentes, les procédures des réformes des biens de l’état relèvent de la compétence exclusive du ministère des finances. Un ministre en fonction ne peut pas s’attribuer ces biens de façon illicite. Il y a des règles à respecter ( voir l’arrêté du ministre des finances).

.Dans son démenti, l’ancien ministre Daouda Mamadou Marthé fait référence aux textes régissant la procédure de la réforme des biens de l’Etat. Il s’agit de l’arrêté N°0308/MF/SG/DGPE du 13 juin 2018 et la lettre n°0001500 MF/DGPE/DPAN/GA du 29 septembre 2020.
L’article 3 de l’arrêté ci-dessus indiqué dispose :

« Chaque fois qu’il est présumé que les matières appartenant à l’Etat et à ses démembres ne sont plus susceptibles d’emploi et de réemploi, ou que leur degré d’altération ou d’usure se justifie, le détenteur de ces matières dresse la liste de ces biens et le transmet au comptable des matières de son ressort pour centralisation.

Cette liste est soumise à la commission ad ’hoc de réforme pour examen. Le procès-verbal de la réforme approuvé par l’ordonnateur intéressé est transmis au Ministère chargé des Finances ». La lettre du 29 septembre 2020, quant à elle, détaille la procédure à suivre pour toute opération de réforme de véhicules et matériels roulants :

1) « Les services compétents des institutions de la République, des Ministères, des Etablissements Publics et des démembrements de l’Etat expriment leurs besoins à travers l’établissement d’une liste des véhicules et matériels roulant à réformer ;

2) « Cette liste approuvée par l’ordonnateur de l’institution, de l’Administration ou de l’Etablissement est transmise au Ministère des Finances conformément aux articles 3,4, 5 et 6 de l’arrêté précité » (arrêté n°0308/MF/SG/DGPE du 13 juin 2018) ;

3) « Les services du Ministère des Finances procèdent à une évaluation de l’état des véhicules et matériels proposés à la réforme et dressent une liste indiquant les prix de réserve pour chaque matériel retenu.

Si la nécessité de la réforme n’est pas avérée, le Ministre des Finances se réserve le droit de procéder à une nouvelle affectation dudit véhicule » ;

4) « Le Ministre des Finances entérine la liste des véhicules et moyens roulants par la prise d’un arrêté consacrant la réforme. L’opération de réforme est conduite par les services compétents du Ministère des Finances suivant les termes de l’arrêté signé ». La lettre (signé par le Ministre des Finances Mamadou Diop) conclut en ces termes :

« Je voudrais vous faire noter que toute opération de vente de véhicules ou moyens roulants de l’Etat ne peut être consentie que pour ceux figurant sur un arrêté dûment signé par le Ministre en charge des Finances ».


Comme on peut le constater aisément, il ne ressort pas dans la procédure de réforme des véhicules ou matériels roulants de l’Etat qu’un autre ministère, en dehors de celui des Finances, s’en charge.


En s’attaquant de manière sournoise au ministre malam Marthe à travers un écrit mensonger et diffamatoire, le journal en question ne cherche qu’à nuire et à discréditer un homme qui a servi l’état de la meilleure façon qu’il pouvait.


D’ailleurs le bus dont on accuse le ministre Marthe d’avoir spolié se trouve actuellement garé au ministère de l’éducation nationale et quant aux restes des autres véhicules, ils ont été réformés par qui de droit.


Ce qui est déplorable dans cette affaire, c’est cette haine contre les anciens dignitaires accusés ces derniers temps par une certaine presse de tous les péchés d’Israël.


Simplement par ce qu’on a un journal, on se met de côté et on crée un fait fictif, on le balance pour faire le buzz oubliant les principes élémentaires de l’éthique et de la déontologie journalistique. L’essentiel pour ces flingueurs de temps modernes est de nuire et discréditer une personnalité.


Cette pratique de journalisme d’égouts qui ne s’embarrasse d’aucune scrupule doit être combattue par l’ensemble de la profession.


Aujourd’hui c’est Marthe et l’ancien président issoufou Mahamadou qui sont traînés dans la boue, demain ça sera le tour d’autres honnêtes citoyens qui verront leur dignité piétinée par des scalpeurs sans état d’âme.
La force publique doit veiller à y mettre fin et cela au plus vite.

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