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MUSEE BOUBA HAMA DE NIAMEY EXPROPRIE  DE PLUS DE 5000  DE SON DOMAINE OBJET DU TITRE FONCIER N°2136 DU 18 DECEMBRE 1957

Décidément, l’impunité incite certains nigériens à poser des actes d’une extrême gravité défiant même l’autorité de l’Etat.  En effet, depuis que l’impunité s’est installée dans notre pays, des scandales remettent,  de plus en plus, en   cause la République et ses lois.

La primauté du droit n’est qu’un leurre et la sacralisation des deniers publics une chimère. Comment est ce qu’il est  possible même dans une République de « wasan kara » qu’un nigérien décide nuitamment de détruire les biens publics sous prétexte d’une mascarade orchestrée par un ministre des domaines  et lui-même pour spolier un bien appartenant au musée Boubou Hama de Niamey. L’on s’est octroyé  plus de 5000 appartenant au terrain du musée national objet du titre foncier n°2136 du 18 décembre 1957. Pire, le fameux détenteur d’une simple lettre du ministre des domaines et de l’habitat en date du 10 février 2017  lui signifiant l’attribution d’un terrain appartenant au domaine public  s’était même permis de procéder à la destruction de quatre (4)  statues de girafe, des barricades en béton pour bloquer l’accès aux statues, des escaliers pour accéder au guichet ainsi qu’à l’obstruction du portail du 3ème guichet et le déplacement d’une statue d’hippopotame   se trouvant sur le terrain en question.

Ces actes et agissements sont inacceptables, la République ne doit plus protéger des ministres qui abusent impunément de l’autorité que la même République leur a conférée.

Le ministre en question et l’initiateur des travaux de construction en cours sur ce domaine public du musée Boubou Hama doivent aller s’expliquer devant la justice. Il ne doit plus avoir de place aux arrangements qui nourrissent l’impunité, la justice doit sévir.   

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Décidément, l’impunité incite certains nigériens à poser des actes d’une extrême gravité défiant même l’autorité de l’Etat.  En effet, depuis que l’impunité s’est installée dans notre pays, des scandales remettent,  de plus en plus, en   cause la République et ses lois.

La primauté du droit n’est qu’un leurre et la sacralisation des deniers publics une chimère. Comment est ce qu’il est  possible même dans une République de « wasan kara » qu’un nigérien décide nuitamment de détruire les biens publics sous prétexte d’une mascarade orchestrée par un ministre des domaines  et lui-même pour spolier un bien appartenant au musée Boubou Hama de Niamey. L’on s’est octroyé  plus de 5000 appartenant au terrain du musée national objet du titre foncier n°2136 du 18 décembre 1957. Pire, le fameux détenteur d’une simple lettre du ministre des domaines et de l’habitat en date du 10 février 2017  lui signifiant l’attribution d’un terrain appartenant au domaine public  s’était même permis de procéder à la destruction de quatre (4)  statues de girafe, des barricades en béton pour bloquer l’accès aux statues, des escaliers pour accéder au guichet ainsi qu’à l’obstruction du portail du 3ème guichet et le déplacement d’une statue d’hippopotame   se trouvant sur le terrain en question.

Ces actes et agissements sont inacceptables, la République ne doit plus protéger des ministres qui abusent impunément de l’autorité que la même République leur a conférée.

Le ministre en question et l’initiateur des travaux de construction en cours sur ce domaine public du musée Boubou Hama doivent aller s’expliquer devant la justice. Il ne doit plus avoir de place aux arrangements qui nourrissent l’impunité, la justice doit sévir.   

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